City Hunter (1988-1990)
[Série TV-Japon] City Hunter – 4 saisons
- City Hunter – 51 épisodes
- City Hunter 2 – 63 épisodes
- City Hunter 3 – 13 épisodes
- City Hunter ’91 – 13 épisodes
C’était en 2018, après avoir fait découvrir à ma fille aînée l’anime Cat’s Eyes, je lui ai proposé de regarder un tout autre univers du même auteur (Tsukasa Hojo) : City Hunter. Vous connaissez ?
C’est l’histoire de Ryo SAEBA justicier de l’ombre, derniers recours des gens en détresse. Pour faire appel à ses services il suffit d’inscrire le code XYZ sur un tableau d’information qui se trouve à la gare de Shinjuku. Ryo fait équipe avec Kaori MAKIMURA, la petite sœur d’un ancien partenaire, décédé, et à qu’il a promis de la protéger. On suit donc les aventures de ce duo de choc. Kaori est là pour calmer ses ardeurs face à la gente féminine, car Ryo a un terrible défaut : c’est un pervers et il n’accepte que des contrats faits par de jolies jeunes femmes, au grand dam de Kaori.
Cette série a marqué mon enfance quand elle était diffusée dans les années 90 et j’ai rapidement été séduite par l’histoire et les personnages. Cependant, j’ai été désenchantée par le doublage français qui était vraiment mauvais, au sens où il était totalement déconnecté de l’ambiance. Suite à cela, je me suis mise à boycotter son visionnage.
C’est ainsi que je me suis éloignée de ces animes mal doublés en français pour m’intéresser aux mangas, c’est à dire à la source, puisque la plupart des animes sont l’adaptation de manga. La découverte du manga « City Hunter » fut pour moi un énorme coup de cœur !
Lors d’un séjour à Taiwan, j’ai emprunté les 36 volumes dans une petite médiathèque. À cette époque la version française n’existait pas, j’étais donc ravie de pouvoir lire en version chinoise, la langue de mes origines. Je l’ai maintenant chez moi, et elle est précieuse à mes yeux, puisque c’est mon oncle de Taiwan qui me l’a offerte (avec les mangas de Dragon Ball), voilà plus de 20 ans qu’elle m’accompagne !
Je redécouvre donc cette série, cette fois-ci en version originale sous-titrée en français. La version originale est à la hauteur du manga et ce fut une agréable surprise d’identifier Ryo avec sa voix japonaise qui lui va si bien ! Et j’adoooore lorsqu’il dit « Pin-pon » d’un air enjoué pour dire « Bingo ». J’aime son rire coquin qui trahit à l’avance quand Ryo s’apprête à faire une grosse bêtise !
Je suis ravie que cette série plaise bien à ma fille aînée. Ryo, ce personnage, à la fois bêta et fort, maladroit et tendre, invincible et totalement ridicule, ne peut qu’attendrir le cœur des femmes. J’ai invité Nounours (mon chéri à l’époque) à regarder avec nous cette série car Ryo est toujours entouré de belles femmes avec des formes si généreuses, une perversité sans faille qui ne peut que le faire sourire. Celui-ci prend d’ailleurs souvent la défense de Ryo (entre hommes ils se comprennent…)
Mais avant tout, je vous recommande vivement de lire le manga qui a été le grand succès de Tsukasa Hojo.
Mes chansons préférés
« Chance » chanté par Akira Kamiya
Avant que la chanson commence il fait sa petite présentation que je trouve géniale car cela résume bien ce qu’il est !
Mon nom est Ryo Saeba.
Je nettoie les insectes qui infestent la ville.
C’est mon travail.
Mon arme est un Colt Python 357 Magnum.
La seule chose que je ne peux atteindre, c’est le cœur des jolies femmes.
Le morceau de plomb chaud qui secoue le canon de mon pistolet
Est mon tir unique qui terrasse les démons.
Ceux qui s’opposent à moi une fois,
Je les fais taire en enfer s’ils recommencent une deuxième fois.
C’est ma façon de faire.
Quelqu’un m’a dit que l’odeur du sang, de la poudre…
…Et aussi celle des roses m’allaient bien.
Je suis le nettoyeur de la ville. Les gens m’appellent City Hunter !
« Angel Night » chanté par PSY.S
« Earth » chanté par PSY.S
« Without you » chanté par Jennifer Cihi
Vous trouverez sur cette page Wikipédia la liste de tous les albums musiques de City Hunter.
Le film français « Nicky Larson et le parfum de Cupidon » (2018)
Il est vraiment pas mal fait et on passe un bon moment ! Il y a des clins d’œils (il y a Dorothée dedans – j’aimais beaucoup ses chansons – ) et gags provenant du manga. Le duo Nicky/Laura est crédible. Il y a de l’humour à la française. C’est une comédie sympathique qui plairait aux fans de Nicky Larson, de la génération Club Dorothée.